Depuis la nuit des temps, des valeurs dites « universelles » ont permis à l’humanité de progresser dans le respect des individus et de leur environnement. Ces valeurs sont des repères immuables, connectés à notre conscience. En les rappelant à notre attention, l’Enigme du Louis d’Or ambitionne de contribuer au rapprochement de tous ceux qui, de près ou de loin, s’y intéresseront.
Avant tout de nature philosophique, l’Enigme est conçue de façon à n’être résolue qu’au terme d’un effort collectif. Plaçant l’Education au centre de tout, et du Tout, elle s’inscrit dans la pensée de Léonard de Vinci, pour qui la peinture est l’expression visuelle d’un tout, où l’art, la philosophie et la science sont indissociables.
La science a permis d’inimaginables progrès. Mais elle ne fait pas tout. Dans une société soucieuse de fonder son progrès sur une véritable élévation des consciences – individuelles et collective – tolérance, universalisme et altruisme sont des composantes essentielles de ce progrès.
L’approche humaniste proposée ici considère qu’il existe une solution générale à l’unité d’un groupe, et que cette solution a vocation à être appliquée partout. L’oublier, c’est oublier les dérives passées de l’humanité.
Pour nous Européens, qui avons été au cœur des plus formidables désastres de l’histoire, oublier les valeurs qui nous unissent, c’est prendre le risque de voir ressurgir les utopies dévastatrices du passé. Faire appel aux valeurs universelles, c’est aussi cela : garantir l’unité dans la diversité : devise de l’Union Européenne.
L’Enigme n’est pas compliquée à résoudre ; elle est seulement complexe.
Tout, ici, est lumineux. L’obscurité ne vient pas de la porte mais de l’observateur. En cela, l’Enigme agit comme un miroir : nous renvoyant l’image de nos préjugés, elle fait de la route tracée devant nous un chemin caillouteux.
Au centre du tout, c’est l’Education qui permet au pèlerin sommeillant en chacun de nous de sortir de ce chemin caillouteux pour déboucher sur la route.
Note : cette phrase, répétée deux fois dans le site de la chasse, était un indice destiné à diriger l’attention vers la convergence GR 65 (ancien tracé) / D 662 au Sud de Cajarc. Cette convergence est dépeinte dans le tableau Hiver 4, où apparaissent les deux chiens de la fable de La Fontaine intitulée ‘l’Education ». Voir la page « Les acquis au 15 mars 2024 ».