– Pour l’Automne 6 / Hiver 6, votre localisation est confirmée.
– Vous avez correctement localisé l’Eté 2 (qui sert à confirmer le tracé du petit cercle).
– Pour le Printemps 6, vous êtes très proche. L’essentiel est d’être proche de Salèmes. Vous y êtes.
Pour info, et concernant ce dernier point, les tableaux du Printemps ont été généralement utilisés pour confirmer le nom du lieu à trouver. C’est le cas du Printemps 6 (Salèmes) et du Printemps 3 (Caillac). Il en est de même à Anglars (Printemps 5) et Barabet (Printemps 2), ce qui explique peut-être pourquoi ces tableaux n’ont pas encore été localisés.
Ci-dessous la photo à partir de laquelle Benjamin Ferré a composé le tableau Printemps 6 en 2020. Cet endroit se trouve vers Salèmes. Il reste à localiser avec précision.
Kazuo
1 année
Le paysage dépeint dans le tableau Printemps 6 et éventuellement Automne 6 et Hiver 6 (où l’on remarque la branche de pin en haut à droite) pourrait être celui de la forêt de La Métairie Haute située à moins de 10 km de Cajarc. Voir plan et photos sur les sites suivants : https://www.lametairiehaute.fr/index.html
(aller à « se balader ») https://www.tourisme-figeac.com/offres/la-metairie-haute-marcilhac-sur-cele-fr-3956606/
« C’est, nous dit-on, une forêt atypique de 38 hectares plantée de conifères : pins noirs d’Autriche, pins d’Oregon, cèdres de l’Atlas, comme une invitation au voyage dans l’espace et le temps. (Ancienne forêt départementale de Marcilhac sur Célé) »
Où il est même question des cinq éléments… Tentant !
Bonjour la nouvelle carte IGN que j‘ai pu voir hier … semble placer ce tableau plutôt à l‘Ouest de la carte (cf. Placement des tableaux tout autour de la carte) … si je ne dis pas de bêtise la Métairie haute est plutôt à l‘Est… à suivre. De mon point de vue, seule la fable se cache dans ce tableau. Nico.
Pierre
1 année
Il semble que ce tableau nous amène à la fable de « L’hirondelle et les petits oiseaux. »
L’hirondelle, symbole de sagesse dans cette histoire car c’est un oiseau qui voyage et qui en « avait beaucoup appris. Quiconque a beaucoup vu peu avoir beaucoup retenu. » Elle voit l’homme semer le chanvre et conseille aux oiseaux d’aller manger toutes les graines car une fois que l’homme s’installe viendront les cages et pièges à oiseaux. La morale finale : » Nous n’écoutons d’instincts que ceux qui sont les nôtres, et ne croyons le mal que quand il est venu », me fait clairement penser à la problématique du réchauffement climatique et aux déséquilibres écologiques engendrés par l’activité de l’homme. Malgré de nombreux avertissements depuis de nombreuses décennies une grande partie de l’humanité nie encore grandement ces déséquilibres alors qu’ils sont clairement visibles.
C’est aussi une leçon sur la nécessité d’être attentif à ce qu’il se passe et de poser l’action juste au bon moment. Les grands changements partent de petites graines anodines semées tranquillement, si elles sont enlevés tout de suite le « mal » ne peut absolument pas se développer. Par contre une fois germé cela demandera plus de temps et d’efforts, jusqu’au moment où les graines auront tellement poussées que les graines seront difficiles à déloger.
Si l’on monte d’une octave dans l’interprétation on peut penser au niveau de l’esprit. Soyons attentif aux graines (idées/pensées) qui sont semés dans notre esprit au quotidien et prenons le temps d’enlever les mauvaises avant qu’elles ne se développent trop et nous enferme dans notre liberté de pensée et d’être comme pour les petits oiseaux. Quand nous sommes attentifs à notre esprit nous observons assez rapidement qu’il est beaucoup plus facile de balayer une « graine pensée » qui vient juste de s’installer que de « déraciner » celles qui ont germés et ce sont développées.
Bonjour Pierre, oui, nous partageons votre point de vue, notamment sur l’aspect visionnaire de la fable quant au futur désastre écologique qui se prépare sous nos yeux avec ses effets délétères sur les espèces végétales et animales… Nous pensons aussi que La Fontaine nous met en garde contre nos préjugés, notre manque d’ouverture aux autres, surtout s’ils ne nous ressemblent pas. Or nous avons tous à apprendre les uns des autres et serions plus avisés si nous écoutions ce que l’autre a à nous dire et les conseils qu’il veut bien nous prodiguer au lieu de toujours éprouver de la méfiance, comme le font les petits oiseaux (*). Ceci pourrait d’ailleurs s’adresser à nous, chercheurs d’énigme… A travers l’hirondelle voyageuse, dont le fabuliste loue les qualités de curiosité, d’observation et la sagesse qui en découle, nous retiendrons plutôt le message que peut-être notre fabuliste a voulu faire passer : nous devons tendre vers cet homme éduqué, curieux de tout, avide de comprendre son environnement et comment fonctionne le monde autour de lui (et là, comment ne pas penser à Leonardo, notre « génie universel » !) afin de nous dépasser et d’accéder ainsi à une forme de sagesse.
(*) clin d’œil hors fable : comme rien n’est ni tout blanc ni tout noir, et si l’hirondelle n’était pas suffisamment pédagogue pour que son message passe auprès des petits oiseaux ???!!!
Printemps 05
Je crois avoir localisé Printemps 6 : 44.50019667750455, 1.7640393023832226
Vous êtes très proche de l’endroit dépeint. Vous serait-il possible d’inclure une photo de la carte IGN avec cet endroit localisé?
Un grand merci!
Je résume:
– Pour l’Automne 6 / Hiver 6, votre localisation est confirmée.
– Vous avez correctement localisé l’Eté 2 (qui sert à confirmer le tracé du petit cercle).
– Pour le Printemps 6, vous êtes très proche. L’essentiel est d’être proche de Salèmes. Vous y êtes.
Pour info, et concernant ce dernier point, les tableaux du Printemps ont été généralement utilisés pour confirmer le nom du lieu à trouver. C’est le cas du Printemps 6 (Salèmes) et du Printemps 3 (Caillac). Il en est de même à Anglars (Printemps 5) et Barabet (Printemps 2), ce qui explique peut-être pourquoi ces tableaux n’ont pas encore été localisés.
Ci-dessous la photo à partir de laquelle Benjamin Ferré a composé le tableau Printemps 6 en 2020. Cet endroit se trouve vers Salèmes. Il reste à localiser avec précision.
Le paysage dépeint dans le tableau Printemps 6 et éventuellement Automne 6 et Hiver 6 (où l’on remarque la branche de pin en haut à droite) pourrait être celui de la forêt de La Métairie Haute située à moins de 10 km de Cajarc. Voir plan et photos sur les sites suivants :
https://www.lametairiehaute.fr/index.html
(aller à « se balader »)
https://www.tourisme-figeac.com/offres/la-metairie-haute-marcilhac-sur-cele-fr-3956606/
« C’est, nous dit-on, une forêt atypique de 38 hectares plantée de conifères : pins noirs d’Autriche, pins d’Oregon, cèdres de l’Atlas, comme une invitation au voyage dans l’espace et le temps. (Ancienne forêt départementale de Marcilhac sur Célé) »
Où il est même question des cinq éléments… Tentant !
Bonjour la nouvelle carte IGN que j‘ai pu voir hier … semble placer ce tableau plutôt à l‘Ouest de la carte (cf. Placement des tableaux tout autour de la carte) … si je ne dis pas de bêtise la Métairie haute est plutôt à l‘Est… à suivre. De mon point de vue, seule la fable se cache dans ce tableau. Nico.
Il semble que ce tableau nous amène à la fable de « L’hirondelle et les petits oiseaux. »
L’hirondelle, symbole de sagesse dans cette histoire car c’est un oiseau qui voyage et qui en « avait beaucoup appris. Quiconque a beaucoup vu peu avoir beaucoup retenu. » Elle voit l’homme semer le chanvre et conseille aux oiseaux d’aller manger toutes les graines car une fois que l’homme s’installe viendront les cages et pièges à oiseaux. La morale finale : » Nous n’écoutons d’instincts que ceux qui sont les nôtres, et ne croyons le mal que quand il est venu », me fait clairement penser à la problématique du réchauffement climatique et aux déséquilibres écologiques engendrés par l’activité de l’homme. Malgré de nombreux avertissements depuis de nombreuses décennies une grande partie de l’humanité nie encore grandement ces déséquilibres alors qu’ils sont clairement visibles.
C’est aussi une leçon sur la nécessité d’être attentif à ce qu’il se passe et de poser l’action juste au bon moment. Les grands changements partent de petites graines anodines semées tranquillement, si elles sont enlevés tout de suite le « mal » ne peut absolument pas se développer. Par contre une fois germé cela demandera plus de temps et d’efforts, jusqu’au moment où les graines auront tellement poussées que les graines seront difficiles à déloger.
Si l’on monte d’une octave dans l’interprétation on peut penser au niveau de l’esprit. Soyons attentif aux graines (idées/pensées) qui sont semés dans notre esprit au quotidien et prenons le temps d’enlever les mauvaises avant qu’elles ne se développent trop et nous enferme dans notre liberté de pensée et d’être comme pour les petits oiseaux. Quand nous sommes attentifs à notre esprit nous observons assez rapidement qu’il est beaucoup plus facile de balayer une « graine pensée » qui vient juste de s’installer que de « déraciner » celles qui ont germés et ce sont développées.
Bonjour Pierre, oui, nous partageons votre point de vue, notamment sur l’aspect visionnaire de la fable quant au futur désastre écologique qui se prépare sous nos yeux avec ses effets délétères sur les espèces végétales et animales… Nous pensons aussi que La Fontaine nous met en garde contre nos préjugés, notre manque d’ouverture aux autres, surtout s’ils ne nous ressemblent pas. Or nous avons tous à apprendre les uns des autres et serions plus avisés si nous écoutions ce que l’autre a à nous dire et les conseils qu’il veut bien nous prodiguer au lieu de toujours éprouver de la méfiance, comme le font les petits oiseaux (*). Ceci pourrait d’ailleurs s’adresser à nous, chercheurs d’énigme… A travers l’hirondelle voyageuse, dont le fabuliste loue les qualités de curiosité, d’observation et la sagesse qui en découle, nous retiendrons plutôt le message que peut-être notre fabuliste a voulu faire passer : nous devons tendre vers cet homme éduqué, curieux de tout, avide de comprendre son environnement et comment fonctionne le monde autour de lui (et là, comment ne pas penser à Leonardo, notre « génie universel » !) afin de nous dépasser et d’accéder ainsi à une forme de sagesse.
(*) clin d’œil hors fable : comme rien n’est ni tout blanc ni tout noir, et si l’hirondelle n’était pas suffisamment pédagogue pour que son message passe auprès des petits oiseaux ???!!!